5/21/2014

The Gion Festival



Kyoto's downtown area is reserved for pedestrian traffic on the three nights leading up to the massive parade. These nights are known as yoiyama on July 16 and July 23, yoiyoiyama  on July 15 and July 22, and yoiyoiyoiyama  on July 14 and July 21.
During the yoiyama evenings leading up to the parade, some private houses in the old kimono merchant district open their entryways to the public, exhibiting valuable family heirlooms, in a custom known as the Byōbu Matsuri, or Folding Screen Festival. This is a precious opportunity to visit and observe traditional Japanese residences of Kyoto.

This festival originated as part of a purification ritual (goryo-e) to appease the gods thought to cause fire, floods and earthquakes. In 869, the people were suffering from plague and pestilence which was attributed to the rampaging deity Gozu Tennō Emperor Seiwa ordered that the people pray to the god of the Yasaka Shrine, Susanoo-no-mikoto. Sixty-six stylized and decorated halberds, one for each province in old Japan, were prepared and erected at Shinsen-en, a garden, along with the portable shrines (mikoshi) from Yasaka Shrine.

This practice was repeated wherever an outbreak occurred. In 970, it was decreed an annual event and has since seldom been broken. Over time the increasingly powerful and influential merchant class made the festival more elaborate and, by the Edo period (1603–1868), used the parade to brandish their wealth.

In 1533, the Ashikaga shogunate halted all religious events, but the people protested, stating that they could do without the rituals, but not the procession. This marks the progression into the festival's current form. Smaller floats that were lost or damaged over the centuries have been restored, and the weavers of the Nishijin area offer new tapestries to replace destroyed ones. When not in use, the floats and regalia are kept in special storehouses throughout the central merchant district of Kyoto in the care of the local people.

This festival also serves as an important setting in Yasunari Kawabata's novel, The Old Capital which he describes, along with the Festival of Ages and the Aoi Festival, as "the 'three great festivals' of the old capital.

Una Festa dell` Estate




Il Gion Maturi o festa di Gion, prende il suo nome dal noto quartiere Gion, situato nel ditretto di
Higasiyama nella citta` di Kyoto Giappone.
Si tratta di una festa religiosa, nella quale si invoca e si prega il dio "Takehaya Susanoo=no=Mikoto"
venerato presso il Santuario Yasaka.
insieme allo "Jidai maturi" e allo "Aoi ,aturi" costituisce una delle tre piu` grandi feste religiose di Kyoto.
Si celebra tradizionalmente ogni estate a partire dal 1 Luglio per un mese allo scopo di calmare gli
spirito dei defunti invocare la protezione del dio sulla citta` di Kyoto perche` tenga lontano malattie e 
catastrofe naturali. E` caratterizzata principalmente degli eventi Yamaboko Junkou e Mikosi Togyo 
che si svolgono entrambi il 17 Luglio, giorno in cui la festa raggiunge il suo apice.

菖蒲 Giaggiolo (Iris)



Questo kimono e` una stagione tipica della primavera.
base e` colore viola, i disegni sono giaggiolo (Iris) con torrente che
rappresenta aria fresca come primavera.

E forma e` si chiama "Houmongi" che si utilizza per matrimonio e festa di importante.
Grazie.

これは”菖蒲”の訪問着です。
地色はきれいな藤色で、裾まわりは菖蒲の花が流水
とともに群生しています。
ポイントにはヒッタと刺繍で豪華さを演出しています。

5/07/2014

Le Kimono




Le kimono (de kiru et mono, littéralement « chose que l'on porte sur soi ») est le vêtement traditionnel japonais. Il est souvent confondu, à tort, avec les vêtements d'entraînement des arts martiaux (keikogijudogikarategi). Avant l'introduction des vêtements occidentaux au Japon, le terme kimono désignait tous les types de vêtements ; de nos jours il se réfère à la robe traditionnelle japonaise, de forme T, portée essentiellement pour les grandes occasions.
Le kimono descend du kosode, un vêtement utilisé auparavant comme sous-vêtement. Il est formé de rectangles de tissus pliés et cousus, mais jamais recoupés ; il est rectiligne, tombant jusqu'aux pieds ou chevilles, suivant la formalité de l'ensemble et la personne qui le porte. Sa particularité consiste dans ses manches très longues, pouvant aller jusqu'au sol pour les kimonos des jeunes femmes (furisode). Le kimono se porte toujours côté gauche sur côté droit : d'une part cela permettait de cacher une arme (tanto), d'autre part, les morts sont habillés en croisant dans le sens inverse. Il est tenu en place par une large ceinture nouée dans le dos, appelée obi.
Un kimono neuf est particulièrement onéreux, son prix pouvant s’élever à plusieurs milliers d'euros, et le porter est particulièrement compliqué. De nos jours, le kimono est surtout connu par le biais du jour des vingt ans (seijin shiki), où les jeunes Japonaises portent un furisode pour la photo traditionnelle. Parmi les plus chers, le furisode porté pour cette fête est souvent loué pour l'occasion. Un usage plus courant du kimono est réservé aux membres de la « très grande bourgeoisie », qui peuvent s'offrir les différents kimonos correspondant aux phases de la vie (jeunesse, âge mur, etc.) et parfois aux saisons. Cependant, ces dernières années ont vu naître un engouement pour les kimonos d'occasion ou sa version simplifiée le yukata.
Le kimono se nomme aussi gofuku ( littéralement le vêtement des Wus), les premiers kimonos ont été largement influencés par les vêtements traditionnel des Hans, connus aujourd'hui sous le nom de hanfu (漢服kanfuku?), littéralement, vêtement des Hans. L'établissement d'ambassades en Chine a favorisé l'adoption par le Japon de nombreuses traditions chinoises depuis le début du ve siècle. Cependant, c'est surtout au cours du viiie siècle que la mode chinoise devient populaire au Japon, notamment avec l'adoption du décolleté féminin. Au cours de la période Heian au Japon (794-1192), le kimono devient très stylisé. Puis, pendant la période Muromachi (1392-1573), le kosode, un kimono d'une seule pièce anciennement considéré comme un sous-vêtement, a commencé à être utilisé sans le pantalon hakama que l'on mettait par-dessus. À la période Edo (1603-1867), les manches sont devenues plus longues, spécialement pour les jeunes filles, le obi est devenu plus répandu dans de nombreux style suivant les modes. Depuis lors, la forme basique du kimono, tant chez la femme que chez l'homme, n'a presque plus évolué. Ceux réalisés avec talent dans des matériaux précieux sont considérés comme des œuvres d'art.
Le kimono, en tant que vêtement professionnel, a été maintenant remplacé par le costume occidental comme vêtement de tous les jours. Après un édit de l'empereur Meiji, les policiers, les agents des transports publics et les professeurs ont adopté la tenue occidentale. Ces vêtements ont ensuite été adoptés par l'armée et les écoles. Après le tremblement de terre de Kantō en 1923, les personnes portant des kimonos ont souvent été victimes de vol à la tire. L'association des fabricants de vêtement pour les femmes et les enfants a promu les vêtements occidentaux. Entre 1920 et 1930, l'habit de marin a remplacé le port du hakama à l'école. L'incendie de l'entrepôt de Nihonbashi à Shirokiya en 1923 est parfois considéré comme le catalyseur du déclin du port du kimono en vêtement de tous les jours (même si cela est probablement un mythe urbain)
Le choix d'un kimono est très important ; le vêtement ayant tout une symbolique et la façon de le porter comportant des messages sociaux qui peuvent être très précis. Tout d'abord, une femme choisit le kimono suivant son statut marital, son âge et la formalité de l'événement. En ordre descendant de formalité :
  • Kurotomesode : kimono noir avec des motifs seulement en dessous de la taille. Le kurotomesode est le kimono le plus formel pour les femmes mariées. Il est porté aux mariages par les mères des mariés. Unkurotomesode a cinq kamon (blasons de famille) : un sur le dos de chaque manche, un au milieu du dos, et un sur le devant de chaque épaule.
  • Furisode : furisode se traduit littéralement par manches flottantes — en moyenne, les manches d'unfurisode mesurent entre 100 et 110 centimètres de long. Le furisode est le kimono le plus formel pour les femmes célibataires (non mariées). Les motifs couvrent le haut et le bas du vêtement ; c'est ce kimono qui est porté auseijin shiki, ainsi qu'aux mariages, par les jeunes femmes de la famille des mariés.
  • Tomesode (Irotomesode) : ressemble au kurotomesode, mais en une couleur (non noir). Comme lekurotomesode, les motifs se trouvent seulement en dessous de la taille. Un tomesode est légèrement moins formel qu'un kurotomesode ; il est porté aux mariages par les femmes mariées de la famille des mariés. Untomesode peut avoir trois ou cinq kamon.
  • Hōmongi : se traduit littéralement « vêtement de visite ». Caractérisé par des motifs continus sur les épaules et manches, ainsi qu'en dessous de la taille, un hōmongi est un peu plus formel que son cousin letsukesage. Le hōmongi peut être porté par les femmes mariées et célibataires ; ce sont souvent les amies de la mariée qui le porteront aux mariages. Un hōmongi peut aussi servir aux sorties formelles, telles des galas.
  • Tsukesage : un tsukesage a des motifs plus modestes et qui sont moins continus que ceux des hōmongi. Il peut être porté par les femmes mariées et célibataires.
  • Iromuji : kimono d'une seule couleur, qui peut être porté par les femmes mariées et célibataires. Il est surtout porté pour le chanoyu, cérémonie du thé. La soie peut être un jacquard (rinzu), mais n'a pas de motifs coloriés.
  • Komon : petit motif. Il s'agit d'un kimono avec un motif répétitif. Ce kimono est assez informel, et peut être porté en ville, ou rendu plus formel avec un joli obi pour manger au restaurant. Les femmes mariées et célibataires peuvent le porter.
  • Edo komon : un type de komon caractérisé par de minuscules points qui forment des motifs. La technique de teinture edo komon a ses origines dans lessamouraï de la période Edo. Un edo komon est aussi formel qu'un iromuji ; quand il comporte des kamon (un seul kamon étant le plus courant, mais il en existe avec trois), il peut être porté aux mêmes événements qu'un tsukesage ou houmongi.
  • Yukata : vêtement informel, sans doublure, fait de coton habituellement, mais aussi de lin ou de chanvre. Les yukata sont portés en été, aux festivals, par femmes, hommes et enfants. Ils sont également portés aux onsen (bains chauds), où ils sont souvent fournis par l'établissement, on parle alors de yukatabira.
Savoir endosser le vêtement traditionnel fait partie de la bonne éducation d'une femme, même si, dans le mode de vie actuel, elle a peu l'occasion de le porter. L'enseignement de cet art est en plein essor et les établissements spécialisés prolifèrent. À la fin de chaque session, l'école organise une fête en l'honneur des lauréates. Celles-ci reçoivent alors un diplôme dûment avalisé par les autorités.

夏物 東京展示会ご案内





ゴールデンウイークも終わり、沖縄は梅雨入りしたそうです。
ぎをん齋藤は夏に向けて、今月の終盤に東京で夏物の会を致します。

涼しげで爽やかな夏物をたくさん展示いたしますので、是非ご覧ください。